Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

It's just another night. ✥ Dovahkin
Dovahkin D'Ehrënfal
Dovahkin D'Ehrënfal
Validé
— Messages : 35
— Sur Avalon depuis : 20/01/2021
— Localisation : La contrée d'Aëdrundin
— Rang & Métier : Chevalier de l'ordre cendré
Lun 22 Mar - 2:13
[quote="Dovahkin D'Ehrënfal"]
It's just another night

@Dovahkin D'Ehrënfal et @Baldwin Oswaldon


Il l’avait toucher, cette marque qu’il avait rêver tant de fois de mettre la main dessus, il avait un sentiment malsain chaque fois qu’il voyait la rougeur sur le coup de son esclave, il aimait voir cette marque fait par ses soin, comme la si cela lui rappelait la sienne, un lien s'était crée entre eux. C’était idiot, puisque tous les esclaves portaient la marque de leur maître, plus un collier ou bracelet, un objet avec l'emblème de la famille, mais lui avait voulu quelque choses qui ne s'effacerait jamais et cela venait de se tourner contre lui. Il allait se retirer, ne plus céder à cette pulsion idiote qui ne lui ressemblait pas, lorsqu’il fut pris de court par l’autre homme. Pour une fois depuis des années ce dernier osait un mouvement vers sa personne. Leur deux front coller, ses mains tirant sur sa tunique, il avait baisser sa garde, ne s’attendant pas du tout à ce que Baldwin ose un seul geste vers lui et il se sentait pris de glace. Baldwin. Ce nom il l’avait répété tellement de fois dans sa vie et chaque intonation avait une signification différente, celle-là était un avertissement qui ne semblait pas avoir été entendu. Il essayait de reculer, il voulait lui résister, le rejeter comme il le demandait, mais son odeur lui fit tourner la tête, son souffle qui fut aspiré par son corps lui fit perdre tous ses moyens et à nouveau il céda. Le chevalier empoigna la nuque de l’avalonien et colla finalement ses lèvres à leurs jumelles, le baiser était dur, féroce, aucun amour ou de plaisir, simplement une pulsion qui se faisait assouvir par nécessité, besoin animal. Dov tira sur les cheveux de l’humain, le faisant reculer jusqu’à sentir le mur sur lequel il le plaqua sans ménagement, mordant la lèvre du bas de son esclaves juste avant de se décoller, une main sur le torse de se dernier, il l’empêcha de revenir vers lui. Arrête ça ! Tu n’as aucune droit de demander quoique ce soit, de te faire désirer ainsi. Il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, il avait vu cet humain grandir à ses côtés et aujourd’hui, il désirait la peau de cet homme et pas dans le sens qu’il aurait dû, il chassait les humains !

La main toujours sur le torse de cet idiot, il commença à frotter son pouce sur la peau, instinctivement, sans vraiment se rendre compte de son geste, il ne voulait que toucher, voir ce que cela faisait, une dernière fois. Essoufflé, il fixait son esclave hésitant encore à le prendre ici sur place ou retourner chez lui et le punir comme il le devrait pour son geste un peu plus tôt. Je devrais te tuer pour tout ce qui est arrivé depuis hier Certe il devrait mettre fin à sa vie pour autant de désobéissance, pas de le sauver ou quoique ce soit d’autre, mais son corps résistait à cette idée. Il frappa du poing sur le mur juste derrière de l’homme tout près de son oreille et à son tour il colla sa tempe sur celle de son esclave, sa propre bouche proche de l’oreille, son corps écrasant de tout son poids celle de sa victime. Je devrais mettre fin à ta vie à mes côtés pour tes idioties Baldwin. Il resta ainsi, colle essayant à nouveau de résister à l’appel de son corps qui réclamait celui de l’autre homme.
 
Baldwin Oswaldon
Baldwin Oswaldon
Validé
— Messages : 254
— Sur Avalon depuis : 10/01/2021
— Localisation : Dans le royaume des Faë, bien loin de son peuple
— Rang & Métier : Esclave de Dovahkin depuis son adolescence. Ebéniste travaillant le bois avec une réelle dextérité et avec patience
Jeu 25 Mar - 12:26
It's just another night

@Dovahkin D'Ehrënfal & @Baldwin Oswaldon


Cet avertissement, la manière de prononcer le nom de son esclave, qui était un timbre de voix qui n’avait jamais vraiment entendu. Tout ceci aurait dû l’inciter et l’encourager à prendre ses distances, mais son front demeurait appuyé contre celui de son maître. Ses mains ne purent lâcher sa tunique, dont il se cramponnait longuement. Quand, il céda et que sa main emprisonna sa nuque. Son souffle un peu plus rapide, fut étouffé par les lèvres du chevalier qui se posèrent durement et voracement sur les siennes. Son nez un peu froid se posa fortement sur sa joue. Réprimant un gémissement, quand il plaqua fortement son dos contre le mur en bois et d’une solidité qu’il n’aurait pas crus possible, pour une cabane de ce genre. Son souffle se libéra enfin, quand il mordilla sa lèvre inférieure. L’odeur et le goût de son baiser avait une pointe de sang. Ce goût de fer éveillait son désir, presque primitif que ce baiser puisse être capable de lui ôter la vie, mais surtout d’embrouiller ses pensées et ne plus être capable de bien penser, comme il le devrait. Ses mains se posèrent sur ses omoplates, avant de les appuyer un peu pour répondre avec autant d’ardeur à son baiser. Tout en mordillant désespérément la lèvre du haut de son maître. Ses lèvres étaient légèrement meurtries, quand il le repoussait soudainement.

Est-ce que son but était de se faire désirer, il ne le savait guère, point de réponse ne put exprimer ni confirmer les actions de Baldwin. Cette main qui caressait sa peau, comme s’il essayait de s’ancrer dans sa chair, fit descendre son regard sur cette main qui était posée contre son torse. Lui-même avait du mal à reprendre sa respiration. Une douleur engourdissait un peu son dos, quand il l’avait poussé durement contre le mur mais rien d’insupportable. C’était une douleur dont il pourrait s’habituer et recevoir sans chercher à s’en défaire. Quand son poing s’abattit durement contre le mur. Est-ce que c’était un moyen pour son maître de reprendre de sa convenance ? Certainement, il pouvait le sentir lutter entre ce torrent de sensation dont il ne devait pas accorder d’importance, d’ordinaire. L’esclave qu’il était, n’exprima aucune crainte, ni surprise mais une réelle dévotion qui n’était pas crainte, ni surprise mais une réelle dévotion qui n’était pas feinte. Sentir son souffle chaud conte son oreille le fit frémir un peu, tout en écoutant sa menace de mort lui être dit deux fois. Baldwin savait qu’il était plus sage de l’écouter jusqu’au bout et de ne pas l’interrompre. Puis sentir tout son corps s’abandonner contre lui, le bouleversa étrangement. Posant alors ses mains sur les joues du chevalier, qu’il caresse du bout des doigts. - « Ne vacillez pas je vous en prie. » -. Sa voix était calme, mais grave. Presque désespérée de le voir ainsi auprès de lui. Sa main toucha son masque de contact léger, aucun dégout ne se perçut, bien au contraire. - « Vous devriez … mais peut-être que vous devriez le repousser pour plus tard. » -. Badwin lui montrait clairement que la mort n’était pas effrayante pour lui. Après tout, il la côtoyait maintenant depuis longtemps et il l’avait vue aussi s’abattre sur sa famille, qui avait été douloureuse pour lui. Que de ses mains il pourrait accepter la sentence de mort si jamais, il voulait mettre fin à son existence de mortel. Le pire pour lui était, la peur que son maître le chasse et l’abandonne. Au pire, le concède à un autre faë. - « Peut-être que nous devrions rentrer ou rester ici, jusqu’au coucher du soleil. Prendre un moment de repos, même s’il vous est forcé par ma faute, je le conçois. Vous semblez faillir c’est ce que je crains. Vous voir ainsi … » -. Se mordillant la lèvre inférieure lentement, tout en le fixant d’une intensité nouvelle. Pourtant, il ne le lâcha pas et il emprisonna la taille de son maître, entre ses bras fermes pour le soutenir et certainement pour le garder un peu plus longtemps contre lui. Ne voulant pas non plus rompre cet échange, même s’il savait que le mieux pour eux serait d’y mettre un terme. Même s’il n’est qu’un homme, la force ne lui manque pas pour autant. C’était calme dehors et le vent soufflait autour d’eux, un bruit tel un son presque harmonieux se posa autour de la cabane. Loin d’être un son déplaisant. Lui aussi se blottissait contre son corps chaud, toujours un peu tendu, tel que celui d’un guerrier aguerri et près a tout instant de porter une attaque ou une défense pour assurer ses arrières et sa survie. Le sentir ainsi contre son corps lui procurait une sensation qu’il n’avait jamais ressentie, quand ils étaient ensemble. Son regard plongea dans le sien longuement. Ses mains caressèrent son dos avant de répliquer. - « Que désirez-vous, maître ? Je ferai au mieux pour pardonner ma conduite si jamais, elle vous a offensé. Je tenais tout de même à ce que vous sachiez, que rien n’était faux, mais que je pourrais aussi le taire si vous me le demandez. Avant que vous ne décidiez de mon sort … » -. L’honnêteté était sincère, ses paroles tout autant. Ses lèvres sentirent les siennes qui s’effleurèrent les unes contre les autres. Puis sa main vint se poser sur son torse, près de son cœur et s’y attarda un instant. Avant de glisser sa main derrière lui et de caresser la longueur de ses cheveux sombre du bout de ses doigts. Au moins, il aurait pu toucher ses cheveux qui avaient toujours attiré son regard et qu’il taisait vouloir un jour, les caresser de ses doigts.
Dovahkin D'Ehrënfal
Dovahkin D'Ehrënfal
Validé
— Messages : 35
— Sur Avalon depuis : 20/01/2021
— Localisation : La contrée d'Aëdrundin
— Rang & Métier : Chevalier de l'ordre cendré
Mer 31 Mar - 20:49
Dovahkin D'Ehrënfal a écrit:
Dovahkin D'Ehrënfal a écrit:
It's just another night

@Dovahkin D'Ehrënfal et @Baldwin Oswaldon


Ses lèvres avait un goût de douceur, peut-être un peu sèche, mais elles collaient parfaitement aux siennes ce qui lui procurait des frissons sur la peau. Il ne pouvait pas, il ne voulait pas ressembler à ses nobles qui font tout à leur esclaves, qui profitaient de leur corps devant tous sans ménagement, il avait vu des esclaves avec des marques effroyablement visible de force et lui ne voulait pas cela pour le sien. Il devait dire que Baldwin était son premier, le premier qu’il avait acheté de lui-même, pas qu’on lui avait donné et cela ajoutait au fait qu’il se devait de le protéger. Il se décolla doucement, un goût de sang presque exquis en bouche, celui de l’humain apparemment en voyant l’état de la lèvre de se dernier, il l’avait mordu. Tout était bordélique dans sa tête entre l’envie de vouloir goûter cette peau ou le fait qu’il me devait pas le toucher puisqu’il était de cette race qu’il avait toujours tant hais, comment aller contre ses principes simplement par pulsion, jamais Dov n’a eu à faire face à aucun sentiment, il est après tout le chevalier au coeur de glace, toujours imperturbable, mais la cette fièvre, dans cette cabane perdu avec lui, il avait tout simplement envie de céder. Il se rapprocha encore, collant leur deux corps ensemble, menaçant son humain d’une voix ferme, ce qui aurait dû l'arrêter, le repousser, lui faire comprendre de ne pas dépasser la limite, mais non, il ne l’avait pas du tout saisi. Au contraire, il le prit un peu plus contre lui, enserrant sa taille de ses bras, collant son visage au sien, Dov pouvait sentir à nouveau son souffle contre sa joue, son torse se soulever contre le sien et ses mains le serrer de plus en plus. Ses propres jambes voulurent céder et se laissèrent tomber, peut-être que Baldwin avait finalement raison il n’était pas complètement remis, surement que sa fièvre venait de remonter et c’était pour cela qu’il avait tant envie de lui. Il se décolla doucement, se dirigeant vers le lit, il devait se reposer et non perdre ses moyens. Le chemin fut ardu, il dû prendre appuie sur le mur de la cabane ainsi que sur l’avalonien, bon sang, il savait que les lames des épées des gardes de la forêt était solide, mais de là à le rendre malade lui. Il aurait dû tuer cet imbécile, il aurait sûrement enduit sa lame de poison. Va dans la forêt, trouve les plantes médicinales, je pense que ma blessure est empoisonnée. Il se recoucha sur le lit, enlevant sa tunique afin de mieux examiner la plaie causer par la lame, justement celle-ci suintait le pus à grandeur et était si boursouflé, il se promit de se venger dès qu’il sortirait de là.
 
Contenu sponsorisé

Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Sauter vers: