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Amicalement charnel ou devoir ? That's the question ?
Dovahkin D'Ehrënfal
Dovahkin D'Ehrënfal
Validé
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— Sur Avalon depuis : 20/01/2021
— Localisation : La contrée d'Aëdrundin
— Rang & Métier : Chevalier de l'ordre cendré
Mar 16 Fév - 19:10
Amicalement charnel ou devoir ? That's the question ?

@Dovahkin D'Ehrënfal et @Hakkon Lëfaÿ


Il s’était là ce matin, tranquille à se préparer, à foutre un coup à son esclave qui avait encore une fois ouvert sa trappe un peu trop, il ne voulait pas partir de mauvaise humeur, mais Baldwin avait réussi à lui sapper son humeur. Il prit le temps de mettre sa cape et son uniforme, puis son masque, chaque fois qu’il mettait les pieds dans le château ou en ville, il faisait attention de cacher cette vilaine marque, de mettre ce masque qui inspirait la peur à tous, à moins que ce n’était que lui-même qui l’inspirait. Maintenant à cheval, il ne mit que quelques minutes à se rendre dans l’immense bâtisse royale, il n’avait pas laissé le temps au villageois de se pousser, il avait seulement fait son chemin, il l’avait dit, son humeur avait été piétiné ce matin. Étant chevalier de l’ordre, personne ne lui posait de questions lorsqu’il posa les pieds sur l’escalier de l’entré, lorsqu’il passa les portes du palais ou même lorsqu’il pénétrait dans la salle où devait se trouver le prince à cette heure. Un palefrenier avait sûrement pris son cheval, il n’était pas rester vérifier, de toute façon personne ne laissait son cheval ainsi sans s’en occuper, il avait déjà veiller à leur faire comprendre une fois. Sur son chemin jusqu’à la salle du conseil, il croisa plusieurs nobles qui le saluèrent, les gardes qui firent de même et les serviteurs qui se poussaient sur son chemin, lui, ne retourna rien, il voulait simplement se rendre sur place et peut-être se défouler sur une nuisance quelconque. Il finit par arriver devant les portes de la salle, il prit une grande inspiration avant de les pousser, il avait ce pressentiment qui le tenaillait, qu’il n’aimerait pas ce qui se passait de l’autre côté. Il finit tout de même pas entrer et la vu fut des plus merveilleuse, le visage du prince valait tout l’or qu’il pouvait trouver aujourd’hui, il s’ennuyait à mourir, le noble devant lui l’exaspérait au plus au point ce qui pour lui signifiait de s’en débarrasser. Le chevalier approcha doucement des deux hommes souriant légèrement en regardant son prince, de la tête il lui demanda s’il pouvait l’aider et la réponse vint aussitôt, ils n’étaient pas ami depuis longtemps pour rien, Dov pouvait presque lire en lui. Il fit le tour des chaises, se faisant vor du noble qui en perdit la parole, d’un signe de main, il lui fit signe de quitter, signe qui ne semblait pas vraiment avoir compris puisqu’il recommença à parler. Voilà la raison de l’exaspération du prince, cet homme parlait autant que l’avalonien qui lui servait d’esclaves.

Vous savez ce qui me rend de bonne humeur ce matin ? C’est que peu importe où je vais, les gens ne semblent pas savoir se taire.

Il empoigna le noble par le col de sa veste et le souleva de sa chaise.

Donc Monsieur, je vous serais gré de continuer que je puisse avoir une raison de vous jeter en dehors de cette pièce sans avoir de problème.

Et c’est ce qu’il fit, le pauvre monsieur se retrouva a passer les portes sautillant sur un pied, tellement la poussé avait été forte. Les portes se fermaient dans son dos et le chevalier se sentait déjà mieux. Se retournant vers le prince, il se pencha dans un salut, comme il se devait de le faire.

Majesté.
Hakkon Lëfaÿ
Hakkon Lëfaÿ
Prince des Faës
— Messages : 58
— Sur Avalon depuis : 19/12/2020
— Localisation : Au château Arbre, à Yaziel en Aëdrundin
— Rang & Métier : Prince héritier du trône Faë, bourreau pour sa mère à l'occasion.
Sam 27 Fév - 12:20
Amicalement charnel ou devoir ? That's the question ?

@Dovahkin D'Ehrënfal  et Hakkon Lëfaÿ


Ce matin, Hakkon était de méchante humeur. Non pas qu’il ai passé une mauvaise nuit, celle-ci était plus qu’agréable. Non pas non plus qu’il ai cauchemardé ou été d’une quelconque façon déranger durant son sommeil. Il s’était simplement éveillé las et même blasé. Cette journée ne serait salvatrice, que lorsqu’elle serait finie. Peut-être était-ce dû, à la dernière idée de sa tendre mère, celle d’invité pour un bal, les plus grands émissaires du peuple des Eëries… Une idée qui, dans les faits, n’était pas mauvaise, même politiquement très intéressante, mais par les temps actuels et troublés… Il n’était pas certains que cela soit finalement la plus brillante. De fait, cela lui avait trotté dans la tête, du levé au petit-déjeuner, jusqu’à ce qu’il se pose enfin dans la salle du conseil. Celle-ci était vide et il y trouvait alors le calme salvateur, dont il avait grand besoin. Mais évidemment, lorsqu’on est prince, on ne reste jamais seul et en paix très longtemps. Le conseil matinal ne s’éternisât guère, il y avait peu à l’ordre du jour et sa mère paraissait lasse. Dès lors, Hakkon eût-il le fol espoir que sa journée maussade en apparence allait enfin s’alléger et qu’il y trouverait enfin un peu de paix, en attendant la relève de sa garde. Mais non…

Non, un moment de paix ne pouvait lui être accorder. Il fallait qu’un des nobles exprime son mécontentement et son incompréhension avec véhémence et gestuelles, concernant l’une des affaires du jour. À savoir, justement, le bal que sa mère pensait donner pour la venue de leurs alliés. Son visage peinait à conserver sa neutralité salvatrice. L’exaspération le gagnait au galop et il avait posé son index contre ses lèvres, afin de se retenir de tous mots plus haut qu’un autre. Toutefois, ses yeux lançaient des éclairs et sa respiration était lente ; mortellement lente. Son attention complète était fixée sur le noble gesticulant qui l’excédait. Hakkon était sur le point de bondir, lorsque la porte de la salle du conseil s’ouvrit des deux battants. Il tourna à peine son regard vers celles-ci. Assez longtemps pour voir Dovahkin entré et sourire intérieurement. Le chevalier respirait la colère à plein nez et nul doute que le noble beuglant allait en faire les frais.

Aussi, le prince détendit-il l’entièreté de son imposante musculature et se laissa paisiblement retomber en arrière, posant sa tête sur le sommet de celle-ci. Un sourire narquois naquit au creux de ses lèvres et il observa la scène avec gourmandise. S’interrogeant cependant, sur ce que Baldwin avait encore bien pu faire à son maître pour qu’il soit de cette humeur dès le début de son service. Ah la peur dans les yeux du noble était d’un délice à nul autre pareil. Sans jamais bouger, Hakkon ne manqua pas une miette de l’échange bref et intense entre son garde personnel et le gueulard. Celui-ci dehors, Hakkon émit un rire amusé et satisfait à la fois. Plongeant ses doigts dans un plateau de datte, il en prit une et la mangea lentement, en regardant les portes se refermée derrière le noble. Il salua son garde, chevalier et ami d’un bref signe de tête. « Ah, Dovahkin… Je m’ennuierai presque, si tu n’existais pas. » Dit-il alors avant de se lever de son siège royale. « Toutefois, je me questionne… » Continua-t-il en rejoignant le garde de sa démarche prédatrice. Il se pencha vers l’autre Faë et dans un sourire taquin demanda : « Qu’est ce que l’avalonien a encore fait ? Ou que n'a-t-il donc pas fait ? » Puis, il remit une seconde datte en bouche, tout en souriant.

Dovahkin D'Ehrënfal
Dovahkin D'Ehrënfal
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Sam 13 Mar - 22:52
Amicalement charnel ou devoir ? That's the question ?

@Dovahkin D'Ehrënfal et @Hakkon Lëfaÿ


Il était arrivé de mauvaise humeur, il avait pris par le col de sa chemise l’invité ou pas inviter, le noble qui rendait son prince de mauvaise humeur et par la même occasion lui-même, déjà qu’il n’était pas d’une nature très calme, en ce moment cet homme n’aidait en rien. Le prince dans tout cela, est que ce noble jouait totalement un jeu, il roulerait presque devant le prince, il pourrait même lui lécher les bottes s’il le lui demandait et ça l'écœurait. Donc il s’était un peu permis, il avait pris l’homme par le col de sa chemise et l’avait traîné au dehors de la salle, le jetant comme on jette une chaussure avec un bon coup de pied pour ensuite fermer les portes directement dans son visage, il pouvait encore l’entendre hurler de l’autre côté et ça le démangeait de d’y retourner se défouler. Se retournant vers son prince, il vit l’amusement parcourir ses traits et il sut que ce qu’il venait de faire ne serait pas compter, il en était même heureux d’avoir été débarrassé ainsi de sa visite, parfois son prince en était incompréhensible. Restant à distance, prêt de la porte, comme tout garde devrait le faire, il attendit les ordres arriver ou simplement une quelconque requête ou même qu’il devrait simplement suivre son prince partout où il se rendrait, mais il ne s’attendait pas du tout au compliment.

A votre service majesté.

Il avait dit cette phrase un sourire en coin ornant son visage, il savait quand pouvoir se permettre d’agir comme l’ami et quand ne pas le faire et en ce moment, seul tous les deux dans cette salle, il pouvait se relâcher un peu. Bon, concernant Dov, se relâcher consistait à changer quelques mots dans ses phrases ou le ton employé, il n’avait pas le surnom du chevalier de glace pour rien. Un soupir se permit de passer la barrière de sa gorge, il savait, il connaissait assez bien son ami royale pour savoir que la prochaine phrase ne lui plairait pas et du fait qu’il s’approchait de sa personne, renforçait son hypothèse. Volant la datte qui venait de à peine de passer les dents, il l'enfourne dans sa propre bouche avant d’imiter le prince et d’approcher de son visage, se retrouvant à son tour très proche.

Il a fait de lui une femme humaine.

Se remettant droit, il contourna le prince pour se diriger vers le plateau de datte dans lequel il se servit sans gêne, il était maintenant partie sur sa lancé, sa bouche ne voulant plus se taire, toute sa colère se déversait en paroles, sans qu’il ne puisse rien faire.

< Type 5 > Monsieur est toujours là à poser des questions, s'inquiéter, vérifié que j’ai tout ou rien de besoin. À savoir, si je voudrais telle ou telle chose. S’il peut préparer mon cheval, faire mon petit-déjeuner. Me dire de passer une bonne journée, de faire attention. Il est toujours dans mes pattes, il ne peut pas se taire quelques minutes !

Il prit place sur une des chaise, fermant les yeux, il venait de perdre le contrôle chose totalement inhabituel pour lui.

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